Les ancêtres de Virginie DARRIBERE

 

 
  Jean Attila DARRIBERE
  
  Jean Julien Joseph Marie DARRIBERE 
   
  Louise Marie IMBERT
  
  Jean-Claude DARRIBERE 
   
    Maurice Gabriel FROTEY
    
   Suzanne Armantine Marie FROTEY 
   
   Justine Madeleine LECOMTE
  
 Virginie DARRIBERE 
  
   Marie Charles Clément Guillaume TASTAVIN
   
   Marie Henri Joseph Eugène TASTAVIN 
    
    Marie Amélie Eugénie Marguerite GARNIER
   
  Guillemette Marie-Louise Claude TASTAVIN 
  
   Jean Léopold HARDY
   
  Marie Solange HARDY 
  
  Léonie Marie MORRIS
 

La famille DARRIBERE

Jean Attila Darribère (arrière-grand-père de Virginie) est né à Mezin (Lot et Garonne). Enseignant, il aurait obtenu un poste à Paris où il s'est installé grâce à l'appui d'Armand Fallières (ministre de l'éducation nationale puis président de la république, issu du même village). Il est fils et petit-fils de bouchonniers (ouvriers dans la fabrication des bouchons de liège, c'est l'industrie principale de Mezin au 19ème siècle).
Dans l'état actuel de nos recherches, tout porte à croire que le berceau des Darribère se situe bien dans le sud-ouest : Landes, Gers, Lot et Garonne, Pyrénées Atlantiques : 336 naissances de DARRIBERE sont recensées sur le siècle (1891-1965), avec une forte implantation dans le sud ouest (32 dans les Pyrénées Atlantiques et 26 dans les Landes).


La famille FROTEY

La branche de la grand-mère du côté paternel. C'est un patronyme rare et nous n'avons que peu d’informations nous permettant d'en localiser l'origine, peut-être dans le Jura ! La famille Frotey est arrivée à Paris vers 1820 et y est restée depuis.


La famille LE COMTE puis LECOMTE

Nos informations nous indiquent que ses origines se situeraient en Picardie. Un Nicolas LE COMTE a été curé de Viry Noureuil et de Caumont (Aisne), il est décédé avant 1690.
Un testament, dressé par un notaire à Noyon (Oise) en 1702, fonde un surcens en faveur de l’église Saint Pierre de Caumont (Aisne), à la charge de messire Pierre LE COMTE bourgeois de Noyon et Jacques LE COMTE.
Le patronyme LE COMTE a été comprimé en LECOMTE vers 1790.


La famille TASTAVIN

La famille TASTAVIN est issue de Roquebrun (Hérault), situé sur les hauteurs à 30 km de Béziers. Famille de marchands de bois, elle est descendue à Béziers vers 1781 et s'unit en 1812 avec la famille MOLINIER, également marchands de bois à Béziers.
D’après Jules VILLAIN (La France Moderne : dictionnaire généalogique, historique et biographique), une branche de la famille TASTAVIN se serait également fixée à St Péray (Ardèche) dans la seconde moitié du XVIII è siècle. Nos connaissances actuelles ne nous permettent pas encore de mettre ces branches en relation.
Au milieu du XIXè siècle, notre branche familiale s’est déplacée vers Montpellier (Hérault). On peut noter que la ville de Montpellier a donné à plusieurs lieux (quartier, marché..) le nom de TASTAVIN. La famille TASTAVIN y est unie à la famille ESTOR, dynastie médicale fameuse de la faculté de médecine de Montpellier.
 

La famille GARNIER

La famille GARNIER semble originaire de Pézenas dans l'Hérault.
On la trouve unie à la famille AURIAS, dont l'origine confirmée se situe également à Pézenas (Hérault) depuis 1760.
La propriété à Pézenas acquise par le couple GARNIER-AURIAS est maintenant encore détenue par les familles DARRIBERE et TASTAVIN.


La famille HARDI ou HARDY

Les HARDI font partie des anciennes familles de souche bourguignonne dont l’ascendance est citée dans les registres d’état civil de Tonnerre depuis 1618. A l’origine ils sont vignerons, puis maîtres tonneliers. Vers le milieu du XVIII è siècle, François HARDY père de 16 enfants est l’aïeul commun à tous les HARDY actuels de cette famille. Ils deviennent à cette époque propriétaires d’une maison de commerce et de production en Bourgogne.
Pendant la révolution, ils occupèrent des positions d’administrateurs municipaux, de district ou d’arrondissement de Tonnerre. C’est encore le cas à l’heure actuelle, le maire de Tonnerre est Mr HARDY


La Famille MORRIS

(Extrait du journal de Charles-Louis-Edouard MORRIS 1838-1909)
« Un anglais, Monsieur Holker, de famille catholique, qui avait pris parti pour le prétendant (maisons des STUART), fut fait prisonnier à la bataille de Culloden (en Ecosse) où Charles Edouard Stuart fut vaincu par le duc de Cumberland et étant parvenu à s’évader, il vînt en France, où, par son savoir et sa grande intelligence comme industriel, il sut se créer une grande situation.
Quelques années plus tard, il appelait près de lui deux jeunes cousins, messieurs Hope et MORRIS (qui n’étaient pas parents entre eux) pour le seconder dans ses entreprises.
Monsieur Jacque MORRIS fut placé à la tête d’une importante maison à Saint-Sever (Rouen) pour la préparation des Indiennes (Teinture et Impression).
Monsieur Hope créa à Amiens l’industrie du velours de coton.
Monsieur Holker s’occupa également de la fabrication de la porcelaine (à Sens et à Creil) et fut crée sous Louis XV inspecteur de l’Industrie en France.
Jacque MORRIS appartenait à une famille catholique de Manchester ou des environs.
Le père de Jacque MORRIS serait un cultivateur très vénéré dans son pays. »
 


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